Le Lyonnais Yoann Gourcuff a réalisé une performance intéressante vendredi soir en match avancé contre Nancy (4-0). Ce qui confirme son retour en forme.
716 minutes que Yoann Gourcuff n'avait pas marqué en Ligue 1. Une incongruité pour le meneur de jeu lyonnais réparée à l'occasion de la gifle infligée par l'OL à Nancy (4-0), vendredi soir en match avancé de la 24e journée de Ligue 1. L'ancien Bordelais n'a pas fait les choses à moitié avec une belle reprise de volée qui donnait l'avantage à son équipe (37e). Gourcuff confirme ainsi l'embellie aperçue ces dernières semaines.
Il faut dire que tout le monde y met du sien pour relancer le plus gros transfert français de l'été dernier (environ 26 millions d'euros). Malgré des performances largement en-dedans, le sélectionneur Laurent Blanc n'avait pas hésité une seconde à réaffirmer la confiance totale qu'il avait dans son ancien joueur. Positionné avec les Bleus en meneur libre derrière l'attaquant, Gourcuff, malgré une sortie sous les sifflets du Stade de France, avait réalisé contre le Brésil une performance qu'on ne lui avait plus attribuée depuis quelques temps déjà. Le match contre Saint-Etienne (1-4), où il s'était également retrouvé dans sa position préférentielle, avait confirmé un peu plus son influence sur le jeu lyonnais. Et rebelote contre Nancy.
Avare de mise en valeur individuelle, Claude Puel n'en faisait pas moins remarquer au terme du match : «On a trouvé des affinités et des relations dans le jeu». Gourcuff a notamment bénéficié de la présence de Delgado, excellent sur son aile gauche, avec lequel il a démontré une relation technique non négligeable, relation moins performante lorsque Lisandro est présent. «On a vu de la disponibilité et de la joie de jouer», confirme Puel. Cette fameuse joie que tous pointaient du doigt en voyant Gourcuff se morfondre la plupart du temps sur un terrain. Depuis sa prestation calamiteuse à Valenciennes (2-1), le milieu de terrain semble avoir renoué avec les plaisirs simples du jeu. Son influence sur coups de pied arrêtés est également à signaler, lui qui a offert une balle de but à Gomis, mais de manière trop précipitée selon l'arbitre (but refusé). Reste désormais à confirmer ce retour au premier plan, à un autre échelon. A quelques jours de retrouver la Ligue des Champions, et le Real Madrid, voilà un motif de plus d'espérer pour l'Olympique Lyonnais.
Source: Figaro
Il faut dire que tout le monde y met du sien pour relancer le plus gros transfert français de l'été dernier (environ 26 millions d'euros). Malgré des performances largement en-dedans, le sélectionneur Laurent Blanc n'avait pas hésité une seconde à réaffirmer la confiance totale qu'il avait dans son ancien joueur. Positionné avec les Bleus en meneur libre derrière l'attaquant, Gourcuff, malgré une sortie sous les sifflets du Stade de France, avait réalisé contre le Brésil une performance qu'on ne lui avait plus attribuée depuis quelques temps déjà. Le match contre Saint-Etienne (1-4), où il s'était également retrouvé dans sa position préférentielle, avait confirmé un peu plus son influence sur le jeu lyonnais. Et rebelote contre Nancy.
Avare de mise en valeur individuelle, Claude Puel n'en faisait pas moins remarquer au terme du match : «On a trouvé des affinités et des relations dans le jeu». Gourcuff a notamment bénéficié de la présence de Delgado, excellent sur son aile gauche, avec lequel il a démontré une relation technique non négligeable, relation moins performante lorsque Lisandro est présent. «On a vu de la disponibilité et de la joie de jouer», confirme Puel. Cette fameuse joie que tous pointaient du doigt en voyant Gourcuff se morfondre la plupart du temps sur un terrain. Depuis sa prestation calamiteuse à Valenciennes (2-1), le milieu de terrain semble avoir renoué avec les plaisirs simples du jeu. Son influence sur coups de pied arrêtés est également à signaler, lui qui a offert une balle de but à Gomis, mais de manière trop précipitée selon l'arbitre (but refusé). Reste désormais à confirmer ce retour au premier plan, à un autre échelon. A quelques jours de retrouver la Ligue des Champions, et le Real Madrid, voilà un motif de plus d'espérer pour l'Olympique Lyonnais.
Source: Figaro
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