Titularisé pour la première fois depuis un mois, Yoann Gourcuff a livré une prestation correcte au milieu de terrain lyonnais face à Bordeaux en Coupe de France. Encourageant pour la suite.
Presqu'un mois que Yoann Gourcuff attendait ça. Depuis le 11 janvier et sa dernière titularisation contre Lille en Coupe de la Ligue (2-1). Resté sur le banc lors des trois dernières rencontres de l'OL, contre Dijon (3-1), à Lorient (2-4 ap.) et à Marseille (2-2), le milieu offensif, titularisé en soutien de Lisandro dans un 4-2-3-1, avait enfin l'occasion de se montrer, cet après-midi contre Bordeaux, à quatre mois du début de l'Euro. « J'ai l'opportunité de me montrer sur le terrain, je vais me lâcher. Je vais prendre ce qu'il y a à prendre », confirmait-il quelques minutes avant le coup d'envoi au micro de France 3. L'ancien Bordelais a transformé ses paroles en actes. S'il est encore bien loin de son meilleur niveau, normal après un mois sans avoir joué le moindre match, il a tout de même montré quelques signes intéressants.
Un geste de génie décisif
Mobile, généreux et disponible, il est souvent redescendu chercher le ballon auprès de Källström et Fofana, jouant, ensuite, la plupart du temps en une touche de balle. Il n'a pas hésité à prendre sa chance, à l'image d'une tentative des 25m certes contrée mais osée (2e) ou d'un coup-franc enroulé des 20m passé de peu à côté des buts de Carrasso (27e). Malheureusement pour lui, l'une de ses premières pertes de balle, un passement de jambes côté gauche manqué, a entraîné l'ouverture du score bordelaise. Une contre-attaque rondement menée, facilitée par une bévue défensive de Koné et conclue par Jussie, parti fusiller Lloris (23e). Quelques minutes plus tard, une nouvelle de ses pertes de balle, au milieu de terrain, a conduit à la deuxième grosse occasion girondine de la première période. Mais Gouffran, après un très bon jeu à trois avec Plasil et Jussie, a vu sa frappe passée de peu à côté du montant gauche de Lloris (28e).
Mobile, généreux et disponible, il est souvent redescendu chercher le ballon auprès de Källström et Fofana, jouant, ensuite, la plupart du temps en une touche de balle. Il n'a pas hésité à prendre sa chance, à l'image d'une tentative des 25m certes contrée mais osée (2e) ou d'un coup-franc enroulé des 20m passé de peu à côté des buts de Carrasso (27e). Malheureusement pour lui, l'une de ses premières pertes de balle, un passement de jambes côté gauche manqué, a entraîné l'ouverture du score bordelaise. Une contre-attaque rondement menée, facilitée par une bévue défensive de Koné et conclue par Jussie, parti fusiller Lloris (23e). Quelques minutes plus tard, une nouvelle de ses pertes de balle, au milieu de terrain, a conduit à la deuxième grosse occasion girondine de la première période. Mais Gouffran, après un très bon jeu à trois avec Plasil et Jussie, a vu sa frappe passée de peu à côté du montant gauche de Lloris (28e).
Encore juste physiquement
Malchanceux, maladroit ? Gourcuff n'a pas tardé à réagir. Il est à l'origine, d'une magnifique passe par-dessus la défense pour Ederson, de l'égalisation lyonnaise. Un enchaînement rapide, dos au but, repris de la tête par le Brésilien, et détourné par Carrasso dans les pieds de Lacazette, auteur de son quatrième but lors de ses trois derniers matches officiels (37e). Un geste de génie, décisif, au bon souvenir de ses années bordelaises. Juste physiquement, il a ensuite baissé de rythme en seconde période. « Je serais certainement en manque de rythme », avait-il laissé entendre en marge de la rencontre. Cela s'est ressenti. Moins présent, il est logiquement sorti à la 69e minute de jeu pour laisser sa place à Gomis et permettre à Lyon de repasser dans son traditionnel 4-4-2.
Malchanceux, maladroit ? Gourcuff n'a pas tardé à réagir. Il est à l'origine, d'une magnifique passe par-dessus la défense pour Ederson, de l'égalisation lyonnaise. Un enchaînement rapide, dos au but, repris de la tête par le Brésilien, et détourné par Carrasso dans les pieds de Lacazette, auteur de son quatrième but lors de ses trois derniers matches officiels (37e). Un geste de génie, décisif, au bon souvenir de ses années bordelaises. Juste physiquement, il a ensuite baissé de rythme en seconde période. « Je serais certainement en manque de rythme », avait-il laissé entendre en marge de la rencontre. Cela s'est ressenti. Moins présent, il est logiquement sorti à la 69e minute de jeu pour laisser sa place à Gomis et permettre à Lyon de repasser dans son traditionnel 4-4-2.
Suffisamment pour convaincre Rémi Garde de lui faire, enfin, confiance ? Réponse dès ce week-end pour la réception de Caen (samedi, 15h).
Source: Le 10 sport
Comme deux blogueurs précédemment je ne renouvelle
RépondreSupprimerrai certainement pas mon abonnement à OL tv pour la même raison que ces 2 blogueurs. Plus que marre
du 2 poids 2 mesures de Benedetti qui prend un malin plaisir à démolir YG. Sur le but bordelais
son commentaire perte de balle une fois de plus. S' il s'amuse à souligner les erreurs de YG l'honnéteté voudrait qu'il souligne égallement l'erreur des autres. Ce qu'il ne fait jamais pour
certains.
Le système de jeu 442 à plat se joue sans numéro 10 et de ce fait condamne Yoann à rester sur le banc. Quel gachis quand on se souvient qu'en juin Garde avait dit qu'il s'appuierait sur Yoann. Ce système à les faveurs de Lisandro qui veut jouer avec Bafé.
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