
« Laurent a eu raison de leur donner juste trente minutes ensemble contre le Luxembourg. Il faut commencer ainsi en leur laissant un peu de liberté pour regarder ce que ça donne. Ensuite, on parle avec les joueurs, on échange et, éventuellement, on rectifie le tir. Je suis parti du principe que j’avais deux types intelligents, capables de s’entendre pour le bien de l’équipe de France. C’est ce qui s’est passé », relève l’ancien sélectionneur des bleus, martelant l’importance de combiner les talents au service du collectif.
« A leur niveau, c’est une question d’envie. Ce qui compte, c’est de ne jamais forcer une entente technique. Il faut la rendre naturelle. Cela se fait par étapes. Mais, attention, cela ne concerne pas que deux joueurs. Moi, j’avais aligné, derrière Youri et Zinedine, des joueurs capables de les protéger et de récupérer des ballons. Ce qui veut dire que, dans le cas de Gourcuff et Nasri, Diaby, M’Vila ou Diarra sont aussi concernés », rajoute le mentor tricolore en rappelant les responsabilités de chacun dans l’état d’esprit et l’animation de l’équipe, chose qu’il a certainement manqué à l’équipe de France ces dernières années.
Source: Foot01
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