Le début de la résurrection tant attendue de Gourcuff, auteur d'un but avec Lyon contre Saint-Etienne, est l'une des bonnes nouvelles du week end. Tant mieux. C'est aussi l'occasion de rappeler que tous les déboires de la saison 2010/11 de l'un de nos plus grands espoirs français prenaient leur source dans la tragique épopée des Bleus lors de la Coupe du monde 2010, pathétique aventure qui se termina par l'affaire du bus de la honte. Peu à peu du reste, la vérité apparait au grand jour, puisque les langues se déliant au fil du temps, on sait aujourd'hui que Yoann Gourcuff fut la victime d'un harcèlement moral dont l'initiateur, l'instigateur et le propagateur fut Franck Ribéry.
Il faut lire la biographie que l'excellent Gilles Verdez, et le non moins excellent Matthieu Suc, viennent de consacrer à Franck Ribéry (La Face cachée de Franck Ribéry, Editions du Moment). Les deux auteurs y reviennent longuement sur le (mauvais) sort qui fut celui de Gourcuff dans la sélection de Domenech, fruit de jalousies aussi infantiles que stupides. Ribéry envieux de la "starisation" progressive de Gourcuff, mena une guerre psychologique sans pitié contre le jeune homme bien sous tous rapports. Le livre décrit à la perfection la manière dont Ribéry entraina dans son sillage des esprits faibles (Gallas, Anelka, Evra...) et comment les uns et les autres faillirent en venir aux mains. On y apprend beaucoup de choses, notamment que les uns et les autres tapaient systématiquement sur la tête de Gourcuff lorsqu'ils montaient dans le bus des Bleus et que ce dernier s'étant rebiffé, une bagarre avait failli éclater, des joueurs prenant la défense de celui qui était encore girondin, ou bien encore que la fameuse empoignade dans l'avion après le désastre face au Mexique (0-2) n'est pas un événement tout droit sorti de l'imagination féconde des journalistes.
Il faut lire la biographie que l'excellent Gilles Verdez, et le non moins excellent Matthieu Suc, viennent de consacrer à Franck Ribéry (La Face cachée de Franck Ribéry, Editions du Moment). Les deux auteurs y reviennent longuement sur le (mauvais) sort qui fut celui de Gourcuff dans la sélection de Domenech, fruit de jalousies aussi infantiles que stupides. Ribéry envieux de la "starisation" progressive de Gourcuff, mena une guerre psychologique sans pitié contre le jeune homme bien sous tous rapports. Le livre décrit à la perfection la manière dont Ribéry entraina dans son sillage des esprits faibles (Gallas, Anelka, Evra...) et comment les uns et les autres faillirent en venir aux mains. On y apprend beaucoup de choses, notamment que les uns et les autres tapaient systématiquement sur la tête de Gourcuff lorsqu'ils montaient dans le bus des Bleus et que ce dernier s'étant rebiffé, une bagarre avait failli éclater, des joueurs prenant la défense de celui qui était encore girondin, ou bien encore que la fameuse empoignade dans l'avion après le désastre face au Mexique (0-2) n'est pas un événement tout droit sorti de l'imagination féconde des journalistes.
Source: Blogteam.Sport/Bruno Roger Petit.
Pour lire l'article en entier : http://blogteam.sport24.com/bruno_roger-petit/2011/10/le-debut-de-la-resurrection.html
C'est vraiment dégueulasse ! Le football français n'a pas besoin de lui, il a sali l'image de la France avec sa prostituée, ca me dégoûte!! En plus il ose s'attaquer à Yoann qui lui est discret et ne cherchant pas les problèmes, il vit juste son rêve. Heureusement qu'il y a des joueurs comme Gourcuff Toulalan ou bien lloris, ca fait du bien de voir des joueurs discret et respectueux.
RépondreSupprimerApparemment Blanc préfère les passe- temps de Ribery ou M.Villa puisqu'il n'a pas sélectionne Yoann Gourcuff.
RépondreSupprimerOui, ce livre confirme les "bruits" qui courraient à propos du traitement indigne qu'une bande de méchants imbéciles jaloux a fait subir à Yoann. Cette "bande à Ribéry" a non seulement détruit moralement un jeune joueur de talent, mais a plus ou moins volontairement amené à l'échec honteux de l'Equipe de France au Mondial. Ce n'est que maintenant, plus d'un an après, que Yoann commence à émerger de ce cauchemar et ce n'est pas forcément gagné.
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